Prendre une décision sans douter : Fonce, apprends et avance !
- Coach Fatima-Zahra
- 19 mars
- 2 min de lecture
Tu réfléchis, tu hésites, tu analyses encore et encore… et au final, tu te retrouves paralysé(e), incapable de trancher. Bienvenue dans le club des grands indécis ! On a tous connu ce moment où l’on doute, où l’on a peur de faire le mauvais choix, où l’on se demande “Et si ça ne marchait pas ?”.
Mais si on te disait que la vraie erreur, ce n’est pas de choisir la mauvaise option… mais de ne jamais choisir du tout ?
Pourquoi douter bloque tout ?
Peur de l’échec – On voudrait être sûr à 100 % avant de se lancer… sauf que la certitude absolue n’existe pas.
Trop d’options, trop de réflexion – À force de tout analyser, on finit par ne plus rien voir clairement.
Chercher la validation des autres – On veut faire le bon choix… mais pour qui, au juste ?
Écouter son instinct : Il sait déjà ce qu’il faut faire
Ton intuition, c’est cette petite voix intérieure qui sait déjà ce qui est juste pour toi. Mais souvent, on la noie sous des montagnes de réflexions rationnelles, de peurs et de “oui, mais…”.
Demande-toi : Si je n’avais peur de rien, qu’est-ce que je ferais ?
Écoute ton ressenti : Quand tu penses à l’option A ou B, laquelle te fait vibrer ?
Arrête d’attendre la perfection : Elle n’existe pas, alors autant avancer et ajuster en chemin.
Mieux vaut essayer que regretter
Une décision, ce n’est jamais une fin en soi. Quelle que soit l’issue, tu vas apprendre, évoluer, et rebondir. Si ça marche, tant mieux. Si ça ne marche pas, tu auras appris quelque chose d’inestimable qui te servira pour la suite.
Aucune décision n’est définitive : On peut toujours ajuster.
L’expérience vaut plus que les regrets : Essayer, c’est avancer. Rester figé, c’est stagner.
Tout est apprentissage : Même un échec apparent t’apportera quelque chose.
Décide et avance !
Alors, au lieu de tourner en rond dans tes pensées, fais un choix, fonce, et fais-toi confiance. Parce qu’au bout du compte, il vaut mieux avoir tenté et appris… que rester immobile et se demander “Et si j’avais osé ?”.
